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Création de Template sur mesure - Thème - Intéractivité - Expérience utilisateur - Refonte - Transformation - Développement - Programmation informatique - Codage - Animation - Effets spéciaux - Intégration multimédia - Vidéo - audio - Responsive - Optimisation écrans - Ordinateurs - Mobiles - tablettes - TV - Compatibilité Navigateurs - Référencement SEO - SMO - Rédaction d'articles - Réseaux sociaux - Communautés - Internet - Publication - Partage - Conseil - Analyse - Audit - Mesure d'audience - Test - Gestion de contenu / Mise à jour - CMS - Nom de domaine - Hébergement
Campagne emailing - Stratégie marketing
Graphisme / Design :
Infographie 2D / 3D - Identité visuelle - logo - typographie - Illustration - Webdesign - Charte graphique
Photographie - Capture numérique - Prise de vue - Manipulation - Retouche - Trucage - FX - Montage / composition -Photos immobilières - Visite Virtuelle Interactive 360 degrés - Shooting Particuliers & Professionnels
Lexik
LEXIQUE : - Photoshop est un logiciel de retouche, de traitement et de dessin assisté par ordinateur, lancé en 1990 sur MacOS puis en 1992 sur Windows. Édité par Adobe, il est principalement utilisé pour le traitement des photographies numériques et sert également à la création d’images, de documents, d'infographie, de dessin vectoriel... - Adobe Illustrator est un logiciel de création graphique vectorielle. Il fait partie de la gamme Adobe, peut être utilisé indépendamment ou en complément de Photoshop, et offre des outils de dessin vectoriel puissants. Les images vectorielles sont constituées de courbes générées par des formules mathématiques. L'un des outils principaux d'Illustrator étant « la plume » qui permet de tracer des courbes à l'aspect parfait grâce au placement de points d'ancrage et de tangentes qui vont en modifier la courbure. Un des avantages des images vectorielles est qu'elles sont indépendantes de la résolution, c’est-à-dire qu'elles ne perdent pas en qualité lorsqu'on les agrandit. Adapté aussi bien à la création de document papier qu'à celle d'illustrations pour Internet (logos, affiches, etc.) ce logiciel est orienté vers le marché professionnel, il intègre de nombreuses options propres à améliorer la productivité. - Visual Studio Code est un éditeur de code extensible développé par Microsoft pour Windows, Linux et macOS2.Les fonctionnalités incluent la prise en charge du débogage, la mise en évidence de la syntaxe, la complétion intelligente du code, les snippets, la refactorisation du code et Git intégré. Les utilisateurs peuvent modifier le thème, les raccourcis clavier, les préférences et installer des extensions qui ajoutent des fonctionnalités supplémentaires. Le code source de Visual Studio Code provient du projet logiciel libre et open source VSCode de Microsoft publié sous la licence MIT permissive, mais les binaires compilés sont des logiciels gratuits pour toute utilisation. - L'optimisation pour les moteurs de recherche (SEO pour Search Engine Optimization en anglais), appelé également référencement naturel ou organique en français, inclut l'ensemble des techniques qui visent à améliorer le positionnement d'une page, d'un site ou d'une application web dans la page des résultats de recherche d'un moteur de recherche (SERP pour Search Engine Results Page, en anglais). Ces techniques cherchent à améliorer la compréhension de la thématique et du contenu d'une ou de l'ensemble des pages d'un site web par les robots d'indexation. L'objectif est d'améliorer le positionnement d'une page web dans les pages de résultats de recherche. Le positionnement d'un site est considéré comme bon lorsqu'il est classé dans la première page des résultats de recherche et donc dans l'une des sept à dix premières réponses naturelles d'une recherche sur des mots-clés correspondant précisément à sa thématique. Le SEO cherche à générer des résultats organiques, contrairement au SEA (Search Engine Advertising) qui essaie d'améliorer le positionnement grâce à des moyens payants comme des liens sponsorisés ou des publicités payantes. - L’optimisation pour les médias sociaux ou référencement social (social media optimization en anglais, ou SMO) est un ensemble de méthodes pour attirer des visiteurs sur des contenus de site web grâce à la promotion de ceux-ci via les médias sociaux. Le SMO regroupe les actions visant à favoriser la diffusion de contenu par l’action manuelle des internautes. Il constitue en cela un complément au référencement naturel (en anglais search engine optimization : SEO) qui se focalise sur l’amélioration de l’indexation automatique par les robots des moteurs de recherche. - HTML5 (HyperText Markup Language 5) est la dernière révision majeure du HTML (format de données conçu pour représenter les pages web). Cette version a été finalisée le 28 octobre 2014. HTML5 spécifie deux syntaxes d'un modèle abstrait défini en termes de DOM : HTML5 et XHTML5. Le langage comprend également : une couche application avec de nombreuses API un algorithme afin de pouvoir traiter les documents à la syntaxe non conforme. Le travail a été repris par le W3C en mars 2007 après avoir été lancé par le WHATWG. Les deux organisations travaillent en parallèle sur le même document afin de maintenir une version unique de la technologie. Le W3C clôt les ajouts de fonctionnalités le 22 mai 2011, annonçant une finalisation de la spécification en 2014, et encourage les développeurs Web à utiliser HTML 5 dès ce moment. Fin 2016, la version 5.1 est officiellement publiée et présente plusieurs nouveautés qui doivent faciliter le travail des développeurs d'applications Web. - Les feuilles de style en cascade, généralement appelées CSS de l'anglais Cascading Style Sheets, forment un langage informatique qui décrit la présentation des documents HTML et XML. Les standards définissant CSS sont publiés par le World Wide Web Consortium (W3C). Introduit au milieu des années 1990, CSS devient couramment utilisé dans la conception de sites web et bien pris en charge par les navigateurs web dans les années 2000. - CSS3 - Avancée de la spécification CSS3. Le développement du troisième niveau des feuilles de styles en cascade commence dès 1999, parallèlement à celui de CSS 2.1. CSS3 devient « modulaire », afin de faciliter ses mises à jour, mais aussi son implémentation par des agents utilisateurs aux capacités et aux besoins de plus en plus variés (navigateurs graphiques, navigateurs pour mobiles, navigateurs vocaux). Les navigateurs peuvent ainsi implémenter des sous-ensembles de CSS327. Dès lors, le degré d'avancement de CSS3 varie selon les modules et le degré de priorité qui leur a été donné par le groupe de travail CSS28. En 2007, les modules les plus avancés (recommandations candidates) concernent : la mise en forme des annotations ruby, la négociation de style entre serveurs et agents utilisateurs (« Media Queries »), le rendu web TV, la gestion des couleurs,la prise en compte de la configuration de l'interface utilisateur. - Media queries est un module CSS3 permettant d'adapter le contenu d'une page web aux caractéristiques de l'appareil de l'utilisateur (par exemple, écran de téléphone intelligent versus écran d'ordinateur). De telles adaptations sont devenues une norme W3C recommandée en juin 2012. Il s'agit de la pierre angulaire des sites web adaptatifs. - La création et la conception de site web ou web design est la conception de l'interface web : l’architecture interactionnelle, l’organisation des pages, l’arborescence et la navigation dans un site web. La conception d'un design web tient compte des contraintes spécifiques du support Internet, notamment en termes d’ergonomie, d’utilisabilité et d’accessibilité. Le web design réclame donc des compétences en programmation, en ergonomie et en interactivité, ainsi qu'une bonne connaissance des contraintes techniques liées à ce domaine. Ces contraintes techniques incluent la diversité des terminaux web et de leurs affichages, l'accessibilité, les spécificités des différents langages et processus, la portabilité, le respect des recommandations du W3C, etc. Le web design d'un site se présente en premier temps sous forme de maquette fonctionnelle avec des spécifications techniques : ergonomie, charte graphique, identité visuelle, marketing, interactivité. Un site web peut être constitué par une simple page statique au format HTML éventuellement mise en forme ou enrichie de CSS incluant des images et des liens vers d'autres contenus, ou constitué de contenus dynamiques ou l'on peut greffer des fonctionnalités pour le rendre interactif avec des services programmés en Java, PHP ou autre langage serveur, des formulaires supposant un traitement en JavaScript, ou Ajax. Il peut reposer sur des technologies de base de données, par exemple MySQL ou MongoDB. - Le développement web frontal (aussi appelé front-end en anglais) correspond aux productions HTML, CSS et JavaScript d’une page internet ou d’une application qu’un utilisateur peut voir et avec lesquelles il peut interagir directement.Le principal défi du développement web frontal est de toujours s'adapter aux dernières évolutions ; les outils et les techniques de développement étant en évolution constante. La conception des sites internet doit également être capable d’offrir une bonne ergonomie de lecture en facilitant la navigation et l’obtention d’information. Cet objectif est d’autant plus compliqué que les appareils ont des formats et tailles variés. Le développeur doit donc s’assurer que le site internet apparait correctement sur l’ensemble des navigateurs Web et des appareils disponibles. - Un développeur web est un informaticien spécialisé dans la programmation ou expressément impliqué dans le développement des applications du World Wide Web, ou des applications qui sont exécutées à partir d'un serveur web sur un navigateur web et qui utilisent le protocole HTTP comme vecteur de transmission de l'information. Les développeurs Web peuvent travailler dans différents types d'organisations, y compris les grandes sociétés et les gouvernements, les petites et moyennes entreprises, ou en indépendants comme freelances. Certains développeurs web travaillent pour un organisme comme employés à temps plein, tandis que d'autres peuvent travailler comme des consultants indépendants ou comme sous-traitants pour une agence d'emploi, une agence Web ou une ESN. Les développeurs Web interviennent à la fois côté serveur et au niveau front-end. Cela implique généralement la mise en œuvre de tous les éléments visuels que les utilisateurs peuvent voir et utiliser dans l'application web, ainsi que tous les services web et API qui sont nécessaires pour alimenter le front-end. - Un développeur full stack, est un codeur capable de réaliser la programmation d’un site ou d'une application web à la fois
en front-end et back-end. Il dispose ainsi de compétences variées lui permettant de travailler sur chaque étape d'un projet de création allant du développement à la production. - Le graphisme est une discipline qui consiste à créer, choisir et utiliser des éléments graphiques (dessins, caractères typographiques, photos, couleurs, etc.) pour élaborer un objet de communication et/ou de culture. C'est une manière de représenter. Chacun des éléments est symbolique et signifiant dans la conception du projet, selon les axes définis éventuellement avec d'autres intervenants du domaine de la communication, dans le but de promouvoir, d'informer ou d'instruire. Le design graphique peut être défini comme le traitement formel des informations et des savoirs. Le designer graphique est alors un médiateur qui agit sur les conditions de réception et d’appropriation des informations et des savoirs qu’il met en forme. Selon ses domaines d'intervention (illustration, affiche, communication d'entreprise, presse, édition, packaging, publicité, design web, signalétique, identité visuelle, etc.), il fait partie de la chaîne graphique liée à l'imprimerie ou à d'autres médias. - Un site web, site Web, est un ensemble de pages web et de ressources reliées par des hyperliens, défini et accessible par une adresse web. Un site est développé à l'aide de langages de programmation web, puis hébergé sur un serveur web accessible via le réseau mondial Internet, un intranet local, ou n'importe quel autre réseau, tel le darknet / deep web. L'ensemble des sites web publics constituent le World Wide Web. - La charte graphique, dont la dénomination correcte est cahier des normes graphiques, est un document de travail qui contient l'ensemble des règles fondamentales d'utilisation des signes graphiques qui constituent l'identité graphique d'une organisation, d'un projet, d'une entreprise. Le but de la charte graphique est de conserver une cohérence graphique dans les réalisations graphiques d'une même organisation, projet ou entreprise quels que soient les différents intervenants de la production (graphiste, directeur artistique…).L'intérêt de réaliser une charte graphique est double : L'identité graphique reste intacte quelles que soient les réalisations graphiques, afin que l'organisation, le projet ou l'entreprise (qui sont une somme d'individualités) parle « d'une seule voix ». Les anglophones parlent de corporate design (littéralement : dessin de l'entreprise).La charte graphique permet au récepteur d'identifier facilement l'émetteur et, par habitude si la cohérence est respectée, de se repérer visuellement dans les différentes réalisations graphiques et au sein même d'un même support graphique (ce qui facilite la lecture). N. B. : Une charte graphique bien conçue doit laisser suffisamment de liberté en constituant des « méta-règles » souples, c'est-à-dire en évitant les interdictions et en envisageant le maximum de contextes où des règles doivent s'appliquer pour l'utilisation des signes graphiques de l'identité graphique. Exemple de contenu de charte graphique Internet/intranet ou multimédia. La charte graphique Internet/intranet est un document papier ou un mini-site qui permet de définir la position des différents éléments qui constituent les principales pages d'un site avant la programmation de celles-ci. Le but, voisin du précédent, est de valider les principes de navigation entre les pages du futur site Internet ou intranet. Il s'y ajoutera des temps de navigation plus courts (les éléments graphiques étant contingentés et présents dans le cache), participant à la bonne perception de l'entreprise par le visiteur. De plus, celle-ci présente des règles fondamentales qui montrent l'identité de l'entreprise. - Un cahier des charges (parfois abrégé en CDC) est un document qui doit être respecté lors de la conception d'un projet. Détail des principales conditions de la vente et des obligations de l'adjudicataire, qui se lit aux marchands assemblés avant l'adjudication. Le cahier des charges prend des formes variables selon le type d’activité (production ou service récurrent, projet ponctuel…), selon le domaine d’activité principal concerné et selon la culture d’entreprise. Actuellement, dans le domaine du BTP, le cahier des charges en interne ne pourra recevoir aucune modification. Cependant le cahier des charges sert à formaliser les besoins et à les expliquer aux différents acteurs pour s’assurer que tout le monde soit d’accord. Il permet notamment de cadrer les missions des acteurs impliqués, dont celles du directeur de projet (côté maîtrise d’ouvrage) et/ou du chef de projet (côté maîtrise d’œuvre). Il sert ensuite à sélectionner le prestataire ou soumissionnaire (dans le cas d'un appel d'offres), et à organiser la relation tout au long du projet. Il est considéré comme un référentiel partagé par le prestataire et l’équipe interne, et décliné dans les documents contractuels. Vers l’externe, c'est en outre un outil fondamental de communication du directeur de projet et/ou du chef de projet. Partie technique d'un cahier des charges : La partie technique d’un cahier des charges doit se limiter à énumérer les contraintes techniques avérées (on parle souvent d'exigences). Les exigences sont organisées en thèmes, puis elles sont numérotées. Cette organisation, prônée par la gestion de projet, facilite le contrôle de conformité des réponses à appel d'offres sur cahier des charges. En contrôle de projet, et notamment lors des revues de projet, le contrôle de conformité se réalise souvent sous forme de matrice de conformité. Les contraintes de base sont : économiques (les contraintes monétaires comme le budget de fonctionnement), environnementales (le caractère recyclable du produit, etc.), industrielles (par exemple, il doit être fabriqué au Canada), matérielles (par exemple, il doit spécifier les morceaux qui peuvent être remplacés, comme des piles, il doit préciser le recours à tel ou tel serveur d’applications, la plate-forme de déploiement). - La gestion de projet1 ou management de projet est l'ensemble des activités visant à organiser le bon déroulement d’un projet et à en atteindre les objectifs. Elle consiste à appliquer les méthodes, techniques, et outils de gestion spécifiques aux différentes étapes du projet, de l'évaluation de l'opportunité jusqu'à l'achèvement du projet. - Le design, le stylisme ou la stylique est une activité de création souvent à vocation industrielle ou commerciale, pouvant s’orienter vers les milieux sociaux, politiques, scientifiques et environnementaux. Le but premier du design est d’inventer, d’améliorer ou de faciliter l’usage ou le processus d’un élément ayant à interagir avec un produit ou un service matériel ou virtuel. Un des rôles du design est de répondre à des besoins, de résoudre des problèmes, de proposer des solutions nouvelles ou d’explorer des possibilités pour améliorer la qualité de vie des êtres humains, que ce soit dans les sociétés industrielles occidentales (où le design est né) ou dans les pays en voie de développement (design humanitaire). La pluridisciplinarité est au cœur du travail du designeur, dont la culture se nourrit aussi bien des arts, des techniques, des sciences humaines ou des sciences de la nature. Le design est à distinguer des arts décoratifs, expression apparue dans les années 1870 comme pendant aux beaux-arts dans la création d'objets d'art. Le design est lié à l'innovation technique, à la production en série, et à l'esthétique contemporaine, tandis que les arts décoratifs relèvent de l'artisanat d'art, c'est-à-dire de techniques traditionnelles, à l'esthétique souvent ornementale et figurative et d'une production à l'unité ou en petite série. Cependant, les frontières ne sont pas étanches : un réverbère parisien en fonte du xixe siècle relève du même processus que le design car même s'il présente des ornements, il est issu d'une technique innovante pour l'époque et il est produit en nombre ; de même, certains designeurs signent des pièces en petite série, pour le marché de l'art notamment, surtout depuis les années 1970. Sollicité par le marketing depuis les années 2000, le design est peu à peu devenu un argument publicitaire. « Design » est devenu, à tort, un adjectif qualifiant un style aux formes simples et d'une apparence épurée. Il succède ainsi à l'aspect traditionnel des modèles de style. Dans sa part artistique, il repose sur un travail des formes qui rappelle celui de la création artistique et qui peut concerner aussi bien des formes spatiales (design d’espace, architecture intérieure), volumiques (design de produits, design industriel), textiles (design de mode, stylisme), graphiques (design graphique, graphisme) ou interactives (design interactif, design d’interaction, design numérique). Ce travail sur les formes explique l’importance des considérations esthétiques dans le champ du design, mais ne doit pas masquer l’importance tout aussi grande des considérations fonctionnelles, techniques, environnementales, biologiques, juridiques, économiques, sociales et politiques, voire philosophiques, qui sont au cœur du travail du designeur, considéré comme l’un des grands métiers de la conception, avec ceux de l’architecte ou de l’ingénieur. - PHP : Hypertext Preprocessor, plus connu sous son sigle PHP (sigle auto-référentiel), est un langage de programmation libre, principalement utilisé pour produire des pages Web dynamiques via un serveur HTTP, mais pouvant également fonctionner comme n'importe quel langage interprété de façon locale. PHP est un langage impératif orienté objet. PHP a permis de créer un grand nombre de sites web célèbres. Il est considéré comme une des bases de la création de sites web dits dynamiques mais également des applications web. PHP est un langage de script utilisé le plus souvent côté serveur : dans cette architecture, le serveur interprète le code PHP des pages web demandées et génère du code (HTML, XHTML, CSS par exemple) et des
données (JPEG, GIF, PNG par exemple) pouvant être interprétés et rendus par un navigateur web. PHP peut également générer d'autres formats comme le WML, le SVG et le PDF. Il a été conçu pour permettre la création d'applications dynamiques, le plus souvent développées pour le Web. PHP est le plus souvent couplé à un serveur Apache bien qu'il puisse être installé sur la plupart des serveurs HTTP tels que IIS ou nginx. Ce couplage permet de récupérer des informations issues d'une base de données, d'un système de fichiers (contenu de fichiers et de l'arborescence) ou plus simplement des données envoyées par le navigateur afin d'être interprétées ou stockées pour une utilisation ultérieure. C'est un langage peu typé et souple et donc facile à apprendre par un débutant mais, de ce fait, des failles de sécurité peuvent rapidement apparaître dans les applications. Pragmatique, PHP ne s'encombre pas de théorie et a tendance à choisir le chemin le plus direct. Néanmoins, le nom des fonctions (ainsi que le passage des arguments) ne respecte pas toujours une logique uniforme, ce qui peut être préjudiciable à l'apprentissage. Son utilisation commence avec le traitement des formulaires puis par l'accès aux bases de données. L'accès aux bases de données est aisé une fois l'installation des modules correspondants effectuée sur le serveur. La force la plus évidente de ce langage est qu'il a permis au fil du temps la résolution aisée de problèmes autrefois compliqués et est devenu par conséquent un composant incontournable des offres d'hébergements. - JavaScript : c'est un langage de programmation de scripts principalement employé dans les pages web interactives et à ce titre est une partie essentielle des applications web. Avec les technologies HTML et CSS, JavaScript est parfois considéré comme l'une des technologies cœur du World Wide Web. Une grande majorité des sites web l'utilisent, et la majorité des navigateurs web disposent d'un moteur JavaScript dédié pour l'interpréter, indépendamment des considérations de sécurité qui peuvent se poser le cas échéant. C'est un langage orienté objet à prototype : les bases du langage et ses principales interfaces sont fournies par des objets. Cependant, à la différence d'un langage orienté objets, les objets de base ne sont pas des instances de classes. Le langage a été créé en dix jours en mai 1995 pour le compte de la Netscape Communications Corporation par Brendan Eich, qui s'est inspiré de nombreux langages, notamment de Java mais en simplifiant la syntaxe pour les débutants9. Brendan Eich a initialement développé un langage de script côté serveur, appelé LiveScript, pour renforcer l'offre commerciale de serveur HTTP de Mosaic Communications Corporation. La sortie de LiveScript intervient à l'époque où le NCSA force Mosaic Communications Corporation à changer de nom pour devenir Netscape Communications Corporation.. Netscape travaille alors au développement d'une version orientée client de LiveScript. Quelques jours avant sa sortie, Netscape change le nom de LiveScript pour JavaScript. Sun Microsystems et Netscape étaient partenaires, et la machine virtuelle Java de plus en plus populaire. Ce changement de nom servait les intérêts des deux sociétés. - Un système de gestion de contenu ou SGC (content management system ou CMS en anglais) est programme permettant de créer un site internet, un blog ou encore un site e-commerce. Il permet les fonctionnalités suivantes : il permet à plusieurs individus de travailler sur un même document, il fournit une chaîne de publication (workflow) offrant par exemple la possibilité de mettre en ligne le contenu des documents, il permet de séparer les opérations de gestion de la forme et du contenu, il permet de structurer le contenu (utilisation de FAQ, de documents, de blogs, de forums de discussion, etc...), il permet de hiérarchiser les utilisateurs et de leur attribuer des rôles et des permissions (utilisateur anonyme, administrateur, contributeur, etc...), certains SGC incluent la gestion de versions. Lorsque le SGC gère du contenu dynamique, on parle de système de gestion de contenu dynamique ou SGCD (Dynamic Content Management System ou DCMS). Le SGC ne doit pas être confondu avec les systèmes de gestion électronique des documents (GED) qui permettent de réaliser la gestion de contenu dans l'entreprise (notamment le cycle de vie des documents). WordPress et Wix font parties des SGC (ou CMS en anglais). Liste des principaux systèmes de gestion de contenu : Wordpress est un SGC Open Source puissant et collaboratif en PHP et JS, BackBee est un SGC Open Source en PHP et Javascript, Concrete5 est un moteur de portails, CMS made simple, Dotclear est un moteur de blog, DotNetNuke / DNN est un SGC libre de droits sur la plateforme Microsoft .Net, Drupal est un moteur de portails, eXo Platform est un SGC Open Source en Java, eZ Publish est un SGC Open Source en PHP, Finwe est un moteur de blog, fluxBB est un moteur de forum, Joomla! est un moteur de portails, Magento est un moteur de boutique en ligne, Magnolia est un SGC OpenSource Java, MediaWiki est un moteur de wiki, phpBB est un moteur de forum, PrestaShop est un moteur de boutique en ligne, Rubedo est un SGC open source multi-sites français, SMF est un moteur de forum, SPIP est un SGC à templates, Textpattern est un SGC Open Source en PHP, TYPO3 est un SGC Open Source en PHP, Xoops est un moteur de portails, E-majine est un SGC professionnel en PHP, Saytup est un SGC professionnel en PHP, Izi-media est un SGC professionnel en PHP, Opencart est un moteur de boutique en ligne, Vosao est un SGC OpenSource Web 2.0 qui s'appuie sur Google Cloud Platform, Fiona est SGC professionnel, Wekio est un moteur de site. - Less est un langage dynamique de génération de CSS conçu par Alexis Sellier. Initialement inspiré par Sass, il l'influence à son tour avec l'apparition de la syntaxe « SCSS » par laquelle Sass reprend des éléments de la syntaxe CSS classique. Le principe de Less est en effet de ne pas rompre avec la syntaxe CSS : tout code CSS est aussi du code Less valide et sémantiquement équivalent. Less y ajoute notamment les mécanismes suivants : variables, imbrication, mixins, opérateurs et fonctions. Less est diffusé en open source. Sa première version a été écrite en Ruby, les versions ultérieures en JavaScript. Par rapport aux autres préprocesseurs CSS, il présente la particularité de pouvoir être converti à la volée, soit par le serveur, soit par le navigateur. Il peut également être traduit automatiquement en CSS classique à l'écriture. - Sass (Syntactically awesome stylesheets) est un langage de script préprocesseur qui est compilé ou interprété en CSS (Feuilles de styles en cascades). SassScript est le langage de script en lui même. Sass se compose de deux syntaxes. La syntaxe originale, appelé "la syntaxe indenté" utilise l'indentation pour séparer les blocs de code et les saut de lignes pour les séparer les règles. La nouvelle syntaxe, "SCSS", utilise les même séparateurs de blocs que CSS. Les fichiers de la syntaxe indenté et SCSS utilise respectivement les extensions .sass et .scss. La syntaxe indenté est un métalangage et SCSS un métalangage imbriqué car un CSS valide est un SCSS valide sans modification de syntaxe. SassScript fournit les mécanismes suivants : variables, imbrication, mixins et héritages des sélecteurs. - Adobe Flash, ou Flash, anciennement Macromedia Flash, désigne un ensemble de technologies logicielles permettant la manipulation de graphiques vectoriels, d'images matricielles et de scripts ActionScript en vue de créer ou utiliser des contenus multimédia (animations, vidéos, jeux, applications...). Le logiciel Flash Player est développé et distribué par Macromedia jusqu'en 2005, à la suite de son rachat par Adobe Systems, qui assurât le support du logiciel jusqu'à la fin de sa prise en charge le 31 décembre 2020. Flash Player était disponible sous forme de plugin sur la plupart des navigateurs web, qui permettait l'utilisation d'objets interactifs ou le streaming de flux vidéos, ce qui n'était pas permis nativement par les navigateurs à l'époque. Flash peut désigner, un environnement de développement intégré (IDE), une machine virtuelle utilisée par Flash Player ou serveur Flash pour lire les fichiers Flash (extension SWF). À la suite de son lancement en 1996, la technologie Flash devient l'une des plus populaires pour ajouter des animations et des objets interactifs à une page web, et permet aussi d'intégrer de la vidéo en streaming dans une page web. La technologie est alors incluse dans de nombreux logiciels et est aussi utilisée pour créer des animations, des publicités ou des jeux vidéo. Flash a longtemps été la plate-forme dominante pour le contenu multimédia sur le web, mais depuis la décision en 2010 d'Apple de ne plus l'inclure sur les ordinateurs tablettes et téléphones de la marque, ainsi que le développement de nouvelles technologies web HTML5 qui surpassèrent flash en termes de fonctionnalités et de sécurité, l'utilisation de la technologie est passée de près de 50 % des sites web en 2011 à 10 % en octobre 2016, avant de s'effondrer avec la fin du développement de Flash Player en 2020 et l'arrêt de son support par les navigateurs. - Macromedia est une entreprise d'informatique américaine produisant des logiciels dont le siège social est à San Francisco. La société est issue de la fusion entre Macromind-Paracomp et Authorware. Macromedia est surtout reconnue pour ses logiciels Flash, FreeHand et Dreamweaver. En mai 2005, le rachat de l'entreprise par la société Adobe Systems est annoncé. - Final Cut Pro (FCP) est un logiciel de montage virtuel non linéaire édité par Apple. Développé à l'origine par la firme Macromedia, Final Cut Pro a été racheté par Apple en 1998, ce qui lui a évité une disparition certaine. Après refonte complète et appui marketing, Apple en a fait un logiciel de montage largement utilisé par les monteurs vidéo qui travaillent uniquement
sur Mac car le logiciel ne fonctionne que sur le système macOS. Ce logiciel destiné au grand public a néanmoins des qualités professionnelles et il est utilisé dans le monde de la vidéo professionnelle (télévision ou cinéma), du fait de sa qualité et du moindre coût du banc de montage en général. Final Cut Pro a apporté dans le monde du montage virtuel une nouveauté toute simple à ses débuts : le montage en DV natif en connectant simplement un câble IEEE 1394 sur le connecteur FireWire de l'ordinateur, il était alors possible de récupérer une vidéo au format numérique et pour la monter sans aucune perte ni transformation. Au fur et à mesure de l'évolution du logiciel, Final Cut Pro a intégré la gestion d'autres interfaces, entre autres les cartes d'acquisition vidéo. Proposées par des constructeurs tiers, ces cartes permettent de capturer un signal analogique ou numérique non compressé (SDI), et de le travailler avec Final Cut Pro ou toute autre application compatible QuickTime. La première de ces cartes fut la RTMac proposé par Matrox. Dans le monde professionnel, les cartes d'acquisition utilisées avec FCP sont fournies par BlackMagic Design (Decklink, Multibridge…), AJA (Kona…) et Matrox (MXO2…). Un graphiste est un professionnel de la communication qui conçoit des solutions de communication visuelle. Il travaille sur le sens des messages à l'aide des formes graphiques qu'il utilise sur tout type de supports. Le graphiste est alors un médiateur qui agit sur les conditions de réception et d’appropriation des informations et des savoirs qu’il met en forme. Ses connaissances reposent sur la typographie, l'usage des signes et des images, l'art de la mise en page. Le graphiste peut s'exprimer dans le domaine de l'imprimé (édition, affichage), de l'interactivité (web, multimédia), de l'illustration ou de l'animation (motion design).L'appellation « designer graphique1 » est quelquefois préférée au terme « graphiste ». Le graphisme comporte d’autres métiers spécialisés :L'infographiste est un graphiste spécialisé dans la création d'images numériques (infographie) ; Le maquettiste est un graphiste spécialisé dans la mise en page, sur ordinateur (tablette graphique), des titres, textes et illustrations. Le graphiste a trois fonctions essentielles. Son premier rôle est d'« identifier », de dire ce qu'est une chose ou d'indiquer sa provenance (enseigne d'auberge, bannière et bouclier, marque de maçon, symbole d'éditeurs et d'imprimeurs, logo d'entreprise, étiquette d'emballage).Sa deuxième fonction, qui recouvre ce que les spécialistes nomment le « graphisme informatif », est d'« informer » et d'« instruire », en indiquant la relation entre plusieurs choses en termes de direction, de position ou d'échelle (carte, diagramme, panneaux indicateurs).Enfin, son troisième rôle, très différent des deux autres, est de « présenter » et de « promouvoir » (affiches, publicités) dans le but de capter l'attention et d'imposer un message. De nos jours, le design graphique fait partie de la culture et de l'économie des pays industrialisés. Sous l'influence des pressions commerciales et des techniques de pointe, de nouvelles formes graphiques voient le jour, mais les graphistes continuent d'emprunter au passé ; la révolution électronique permet de stocker des images, pour les réutiliser, en les manipulant et en les assemblant selon une esthétique contemporaine. Le graphisme constitue une forme de langage dont la grammaire serait indéfinie et le vocabulaire sans cesse croissant. Le graphisme d'information, au sens le plus large, consiste en la sélection, l’organisation et la présentation d'une information destinée à un public particulier. L'information peut être délivrée sur des types de documents très divers : carte météo, indicateur horaire de vols, tableaux de données statistiques… La quantité d'informations contenues dans ceux-ci est parfois particulièrement importante, comme dans une carte routière, et l'utilisateur en extrait alors seulement ce dont il a besoin pour un usage précis. Le graphiste d'information en tant que discipline a pour objectif premier de communiquer des informations avec efficacité. L'information donnée doit demeurer exacte, et sa présentation ne doit pas la déformer — c'est la responsabilité même du graphiste qui est engagée sur ce point.Contrairement au graphisme publicitaire et marketing dont le but la plupart du temps est d'inciter l'utilisateur à faire telle ou telle chose, le graphisme d'information s'emploie à présenter toutes les données objectives nécessaires à une prise de décision. Les graphistes spécialisés dans la présentation d'information ont été décrits comme des « transformateurs » (qu'il s'agisse de données brutes, d'un ensemble d'actions ou bien encore d'un processus) en présentation visuelle qu'un public donné pourra facilement comprendre. Image/langage : les outils du graphiste. Au cours de l'histoire, la représentation visuelle (et donc, le graphisme) est indissociable de la formation du langage et de l'apparition de l'écriture, de l'invention des systèmes de mesure, de la constitution des religions, des identités collectives .Le graphisme est lié à la constitution de la communauté humaine et de leur système symbolique, lié à l'évolution des techniques et des modes de représentation. Les arts graphiques permettent de signifier les mesures (arpentage, monnaie…), la foi (objet de culte, rituels funéraires), les commandements du pouvoir et la transmission des savoirs (fresques, emblème, écriture…).On peut dire que le graphisme est toujours en rapport avec le langage, d'abord parce qu'il consiste souvent à agencer des images et du texte, ensuite parce qu'il doit toujours dire quelque chose ; pour ce faire, il utilise d'ailleurs des techniques qui sont celles de la rhétorique : la connotation, la métaphore, la métonymie… en jouant des juxtapositions d'images (association d'idées), du cadrage, des ambiances, de l'expressivité des couleurs et des conventions de lecture (de décryptage). La typographie .Elle est au cœur du graphisme. L'agencement des caractères et leur dessin sont rapidement devenus des paramètres essentiels pour optimiser le temps de réalisation d'un document, la surface disponible et la lisibilité.Mettre en page, ou formuler un discours : une grande part du travail du graphiste consiste à mettre en page (ordonner) du texte. D'où l'existence de nombreuses règles de composition qui tiennent compte autant de l'orthographe que de la syntaxe ou de la lisibilité (orthotypographie). Ses règles régissent les accents, la ponctuation, la césure des mots, les espaces entre les signes, les mots et les lignes et la séparation des textes en paragraphes. Souvent issues des contraintes techniques de l'imprimerie, ces règles sont devenues des conventions culturelles qui évoluent et dont le graphiste doit tenir compte. Tout texte a une structure : titre, sous-titre, note, différents statuts d'énoncés qui sont parfois composés de caractères différents et de taille variable. « Le caractère a aussi une image » qui peut exprimer un ton particulier par sa forme, sa densité, d'où l'existence de nombreuses familles de caractères, dont celles dites « fantaisie », généralement réservées au titrage, aux affiches, aux enseignes.« La démocratisation de la typographie » : pendant près de 500 ans, la création de caractères a été l'affaire d'un nombre restreint de spécialistes, et entraîné une mise en œuvre complexe (dessin à la main en leur demandant une certaine virtuosité, puis gravure manuelle précise). Quant aux règles de composition typographique, elles nécessitaient un apprentissage laborieux et une longue pratique. Ce n'est qu'avec l'avènement de la PAO (au début des années 1980) que l'accès à la création de caractères et à leur manipulation fut — relativement — plus aisé. Qu'il s'agisse des techniques d'impression ou de la transformation des supports, la transmission des informations et l'évolution du graphisme sont étroitement liées au progrès technique. Les techniques de reproduction : La généralisation de la lecture et de l'écriture et la propagation des images ont progressé au fur et à mesure que l'on est passé de la reproduction manuelle (copies et enluminures) aux techniques de reproductions mécaniques (gravure, tampon, typographie, caractères mobiles, lithographie, offset et sérigraphie…).Les caractéristiques des métiers du graphisme sont aujourd'hui : l'évolution rapide des technologies de la communication, l'intégration du multimédia (texte, image, son, mouvement, interactivité…) et la forte pression incessante d'images. Les limites mêmes de l'imprimerie sont repoussées avec le numérique, qui permet une plus grande souplesse d'utilisation : délais plus courts, petits tirages, impression à la demande et réimpression, éventuellement modification d'un document déjà édité, prix accessible. En France : Jusqu'à 2018, le BTS Design graphique (Ancien BTS Communication visuelle) formait les étudiants au métier de graphiste. Aujourd'hui, le BTS a été remplacé pas le DNMADe (Diplôme National des Métiers d'Art et du Design) mention Graphisme. Cette formation en 3 ans s'effectue en lycée (tout en dépendant de l'université). Elle assure un fonctionnement par crédits, et représente l'équivalent d'une Licence (Bac+3). Il est donc possible après un DNMADe de poursuivre ses études vers un Master en université sans recourir à une année préparatoire. En formation pré-Bac il est possible de suivre un Bac Pro Artisanat et Métiers d'Art option Communication visuelle (anciennement Communication graphique).Il existe également de nombreuses écoles d'art qui délivrent le DNAP (diplôme national en arts plastiques) spécialité graphisme, ainsi que le DNSEP (diplôme national supérieur en études plastiques) spécialité graphisme (ou un master). Ces diplômes se préparent respectivement en 3 et 5 ans. Il existe de nombreuses écoles, qu'elles soient publiques ou privées, ou encore des écoles de formation à distance délivrant
des certificats avec les mêmes durées de préparation. Multimédia et apprentissage D'après Joseph Rezeau : « Un environnement d’apprentissage multimédia se caractérise par le regroupement sur un même support d’au moins deux des éléments suivants : texte, son, image fixe, image animée, sous forme numérique. Ces éléments sont accessibles via un programme informatique (logiciel) autorisant un degré plus ou moins élevé d'interactivité entre l’utilisateur et les éléments précités. Par interactivité nous entendons les possibilités de navigation, d'hypernavigation (par le biais d’hyperliens), de recherche d’information (libre ou guidée) et d'aide en ligne. Dans le cas où le produit propose des activités de type « exercice », la qualité du feedback (tant positif que négatif) fourni par le logiciel – quels que soient la forme et le canal emprunté – sera un critère déterminant de la qualité du produit. Dans le cas d’un produit destiné à un usage institutionnel, la possibilité de conserver une trace de l'activité de l'apprenant à destination de l'enseignant sera considérée comme un atout supplémentaire. Dans le cas d’un produit destiné à un usage « en ligne », la possibilité d’entrer en communication synchrone ou asynchrone avec des pairs ou avec un enseignant sera considérée comme une caractéristique souhaitable. » Le contenant et le contenu doivent être différenciés avec les outils multimédia : ordinateurs, réseaux, les lecteurs de CD-ROM ou DVD-ROM et le contenu, qui est l'information délivrée. De plus en plus, une forme d'enseignement à distance se développe, et l'étudiant peut entrer en contact avec ses enseignants et accéder à leurs enseignements à distance grâce à Internet. Cette forme d'enseignement s'appelle le « e-learning » (en français : formation à distance).Multimédia et interopérabilité informatique L'interopérabilité en informatique des systèmes multimédias est obtenue grâce aux normes et standards techniques graphiques, audio et vidéo telles que JPEG, MP3, MPEG-4, etc. Quelques applications multimédias :Animation par ordinateur : dessin animé classique en interaction avec des images de synthèse ;Audiovisuel ;Conception assistée par ordinateur (CAO) ;Développement web ;Dispositifs immersifs ;Enseignement assisté par ordinateur (EAO) : enseignement à distance, didacticiel ;Graphisme : infographie, dessin bitmap, dessin vectoriel ;Jeu vidéo : jeu d'aventure, jeu de stratégie, jeu d'action, etc. ;Publication assistée par ordinateur (PAO) : Mise en page, photocomposition ;Musique assistée par ordinateur (MAO) : synthèse sonore, échantillonneur, MIDI ;Montage assisté par ordinateur (son et/ou vidéo) : vidéo ; VoIP ;Visioconférence : Zoom Video Communications, Microsoft Teams. Les métiers du multimédia Journaliste Graphiste Conception de site web Directeur artistique Concepteur en multimédia Animation 2D, 3D, et en relief 3DMotion design Montage vidéo Infographie Art numérique Développement de logiciel Administrateur de base de données Médiamaticien Médiathécaire. Le terme digital est l'adjectif associé au substantif doigt (exemples : tracé digital, empreinte digitale, comput digital).C'est également un anglicisme (« digit » signifie « chiffre » en anglais) employé en France depuis les années 1970. Il existe, depuis les années 2000[réf. nécessaire], le terme « numérique », proposé comme mot de substitution1,2.Le passage d'une information analogique à une information numérique est appelé numérisation, alors que le passage d'une technologie matérielle à une technologie numérique est généralement appelée virtualisation ou dématérialisation. Dérive du terme L'utilisation du terme « digital » pour « numérique » provient d'une extension erronée de digital display, ou affichage à sept segments des années 1980 pour tout affichage de nombres, puis à toute numérisation. Le succès des afficheurs à sept segments (« digits » en anglais, c'est-à-dire « chiffres ») fait que le terme digital display est devenu, par la même dérive que celle de la marque frigidaire pour réfrigérateur, le synonyme d'affichage numérique, même quand l'évolution de la technologie a fait évoluer cet affichage vers un affichage à matrice de points. Sémantiquement, le terme « digital », en français comme en anglais, provient du latin digitus signifiant « doigt » et n'a aucun rapport avec nombre ou numérisation, mais plutôt avec le fait de compter avec les doigts ou « sur ses doigts ». Ainsi les afficheurs digitaux, apparus dans les années 1980, évitaient de compter en binaire sur les doigts et ont laissé place à l'expression affichage « digital ». Ainsi, un calculateur digital pourrait s'apparenter à un boulier, un instrument toujours employé dans les années 2010 en Asie, grâce auquel le calcul s'effectue avec les doigts, ce qui explique également que « digital » (chiffres + doigts) ait été employé dans les années 1970 à 1990 en lieu et place du terme « numérique ». L'emploi du terme digital à la place de numérique ou numérisation est un emprunt lexical, souvent dérivé des effets du marketing.
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